Les secrets du maquillage égyptien et ses influences actuelles
Chez nous, l’histoire du maquillage commence avec les Égyptiens antiques. Fascinés par notre beauté et notre présentation personnelle, ils inventent leur propre type de maquillage. À base de cuivre et de plomb, ils créent du kohl pour mettre en valeur leurs yeux. Et, bien que nous ne recommanderions pas ces ingrédients aujourd’hui, il est indéniable que cette pratique ancienne a sa place dans l’histoire du maquillage.
Aujourd’hui, nous retrouvons des références à cette technique dans les looks smoky eyes modernes. Selon notre opinion, ces parallèles offrent une perspective fascinante sur l’histoire de la beauté et sont une preuve éloquente de l’influence durable des cultures anciennes sur nos tendances contemporaines.
La fascination romaine pour le blanc de plomb – du poison dans nos poudres
Passons aux Romains, dont la palette de maquillage comprenait le blanc de plomb. Ils utilisent cette substance toxique pour éclaircir leur peau, en dépit de ses effets néfastes reconnus. Aujourd’hui, le blanc de plomb est interdit dans les cosmétiques, mais il était autrefois l’ingrédient de prédilection des maquillages pour le visage.
Selon nos recherches, le blanc de plomb peut causer de l’irritation, des troubles neurologiques et même le décès. Cela nous rappelle à quel point il est essentiel de vérifier les ingrédients des produits que nous utilisons sur notre peau.
Le rouge jusqu’au vert : l’évolution des cosmétiques du XVIIème siècle à l’époque contemporaine.
Inventé au XVIIème siècle, le rouge à lèvres est devenu un objet de convoitise universel. Aujourd’hui, il se décline en une gamme infinie de couleurs et de finitions. Mais qu’en est-il de l’époque où le rouge symbolisait le statut social, et où le vert était considéré comme une couleur malsaine ?
Rappelons que le vert était associé à des maladies de peau au XVIème siècle, mais a gagné en popularité par la suite. Aujourd’hui, nous l’associons au naturel et à la durabilité. Selon notre avis, cette évolution des couleurs et des perceptions est une facette intéressante de l’histoire de la beauté.
Ainsi, nous constatons que les cosmétiques, bien que transformés et modernisés, restent une part importante de notre histoire culturelle et sociale. En sachant cela, nous pouvons mieux apprécier la valeur des produits que nous utilisons et comprendre comment ils reflètent nos idéaux de beauté à différentes époques.